Navigations…

à bord de Guilben surtout !

Repos…

Après la belle sortie de mercredi, nous avons besoin d’un peu de repos avant d’envisager la suite. D’autant qu’il y a de nombreuses petites tâches à effectuer à bord. Point de jardin à arroser, mais du lavage (bateau, linge), des courses (alimentation et divers) et surtout de petites réparations utles pour la suite.

Pendant un petit repas dans le cockpit, un curieux fruit apparaît sur cet arbre.
Ce vieux baromètre géant trône à La Rochelle au-dessus d'un magasin d'optique .

Une petite réparation peu urgente mais nécessaire : il y a une légère infiltration d’eau de mer entre le moteur et sous les planchers de la couchette arrière.

Pour les non-initiés, le moteur dans le bateau, fait tourner une hélice dasn la mer. Il y a bien un endroit où il faut faire passer à travers la coque – fixe – un élément tournant. Depuis toujours il existe quelques moyens plus ou moins fiables. Le plus connu est le presse-étoupe. Nous avions opté pour un joint tournant. Inévitablement il y a un peu d’eau qui s’échappe (quelques gouttes) mais à la longue environ 1 litre d’eau de mer stagne dans les fonds. Nous pourrions même récupérer du sel gros lorsque l’eau s’est évaporée.

Nous avons donc enlevé le silicone – vieux, qui ne jouait plus son rôle – pour le remplacer par un mastic silicone neuf après nettoyage vigoureux de l’environnement.

D'abord un décapage grossier
Ensuite avec la pose du mastic silicone

Pour situer l’environnement, grâce à l’iPhone tenu à bout de bras on peut prendre une photo. En bas la coque et en haut un silent-block du moteur. Et pour les travaux, mêmes contraintes !

Nous avons profité de l’après-midi avant la pluie pour

  • aller chez la coiffeuse (le skipper)
  • faire le tour des shipchandlers pour commencer à repérer les pilotes automatiques (on ne sait jamais au cas où le nôtre rende l’âme) et les pendules de bord.
  • retendre les pataras et le galhauban tribord
  • revisser une lampe à led dans la cabine arrière.
  • resserrer la serrure d’un placard

Petits potins du port :
Ce matin, des attaques de goélans et de sternes qui semblent défendre leur territoire. Ça crie et vole dans tous les sens. Au bout d’un moment, un voisin nous dit que c’est à cause des canards qui sont nouveaux dans le paysage. Il affirme même – sans préciser la source – qu’un comptage précis a recensé cent deux canards. En attendant, ils sont nombreux et on ne sait pas d’où ils sortent.

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