Repos…
Après la belle sortie de mercredi, nous avons besoin d’un peu de repos avant d’envisager la suite. D’autant qu’il y a de nombreuses petites tâches à effectuer à bord. Point de jardin à arroser, mais du lavage (bateau, linge), des courses (alimentation et divers) et surtout de petites réparations utles pour la suite.
Une petite réparation peu urgente mais nécessaire : il y a une légère infiltration d’eau de mer entre le moteur et sous les planchers de la couchette arrière.
Pour les non-initiés, le moteur dans le bateau, fait tourner une hélice dasn la mer. Il y a bien un endroit où il faut faire passer à travers la coque – fixe – un élément tournant. Depuis toujours il existe quelques moyens plus ou moins fiables. Le plus connu est le presse-étoupe. Nous avions opté pour un joint tournant. Inévitablement il y a un peu d’eau qui s’échappe (quelques gouttes) mais à la longue environ 1 litre d’eau de mer stagne dans les fonds. Nous pourrions même récupérer du sel gros lorsque l’eau s’est évaporée.
Nous avons donc enlevé le silicone – vieux, qui ne jouait plus son rôle – pour le remplacer par un mastic silicone neuf après nettoyage vigoureux de l’environnement.
Pour situer l’environnement, grâce à l’iPhone tenu à bout de bras on peut prendre une photo. En bas la coque et en haut un silent-block du moteur. Et pour les travaux, mêmes contraintes !
Nous avons profité de l’après-midi avant la pluie pour
- aller chez la coiffeuse (le skipper)
- faire le tour des shipchandlers pour commencer à repérer les pilotes automatiques (on ne sait jamais au cas où le nôtre rende l’âme) et les pendules de bord.
- retendre les pataras et le galhauban tribord
- revisser une lampe à led dans la cabine arrière.
- resserrer la serrure d’un placard
Petits potins du port :
Ce matin, des attaques de goélans et de sternes qui semblent défendre leur territoire. Ça crie et vole dans tous les sens. Au bout d’un moment, un voisin nous dit que c’est à cause des canards qui sont nouveaux dans le paysage. Il affirme même – sans préciser la source – qu’un comptage précis a recensé cent deux canards. En attendant, ils sont nombreux et on ne sait pas d’où ils sortent.
Ce billet a été posté le vendredi, 23 07 2021 à 19 h 05 min et il est classé dans Été 2021. Vous pouvez suivre les commentaires par le lien RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou un trackback depuis votre site.