La gestion complexe de nos vêtements
À bord, comme à terre (!) nous disposons de plusieurs tenues. Il faut une tenue ordinaire pour sortir en ville – courses, restaurant, balades -, une tenue pour vivre à bord – vêtements qui ne craignent pas trop, car on peut vite se salir dès que l’on effectue les tâches courantes comme manger, ranger, entretenir ; pas à cause de la propreté du bateau, mais à cause de petits mouvements du bateau qui entraînent quelquefois de grandes catastrophes vestimentaires ! -, une tenue de travail – généralement, qui ne craint rien, pour aller bricoler dans des endroits peu accessibles ; c’est souvent une vieille tenue que l’on jette en fin de saison ! -. Et bien sûr, la tenue de navigation qui peut aller du tee-shirt et short en passant par les sweats et Kway pour aller jusqu’au ciré et bottes. Il faut savoir qu’en mer, même par beau temps, nous avons vite froid à cause du vent et de l’humidité ambiante. Enfin, il faut régulièrement procéder au lavage de tout ce linge. De plus en plus, dans les ports, on trouve des machines à laver le linge et des séchoirs pour une somme d’environ 7 € (machines et lessive), ce qui est raisonnable dit Annie.
Au cours de notre promenade de l’après-midi, nous avons vu l’église du village dont les piliers extérieurs sont tous sculptés de façon différente jusqu’à environ deux mètres du sol. Ensuite ils sont classiquement lisses.
Pour terminer la journée, un groupe franco-espagnol de jeunes débarque sur le ponton. Ils ont l’air très intéressé par les poissons du port (peu nombreux ici) et n’hésitent pas à essayer de les voir de près !
La photo du jour est une galerie d’images sur les roses trémières qui poussent partout ici, de façon généralement sauvage, mais que tout le monde respecte.