Nous avons réalisé un petit film sur l’arrivée à Boyardville.
Petits potins oubliés
Pendant le coup de vent du 18 juillet, Maurice a perdu sa casquette, arrachée par la tempête… eh, non, par le gilet gonflable ! Nous scrutons la mer… rien. Quelqu’un se penche et, miracle, elle stationne sur la jupe, dans les remous de la jupe. Une intervention énergique à l’aide de la gaffe et la récupération s’effectue normalement. Il ne reste plus qu’à sécher la bête. Mais, pas le temps de faire des photos.
Marion et Pascal nous avaient apporté de magnifiques tee-shirts, les voici.
Le pilote automatique donnait des signes de fatigue. Nous avions déjà exploré les possibilités de remplacement. Lors de la sortie de mercredi, nous avons testé à nouveau ce pilote. Après quelques manipulations et une lecture du mode d’emploi, Pascal s’est aperçu qu’il déraillait surtout quand Maurice le testait de près. En fait, c’est la montre connectée (ou l’iPhone) qui détraque complètement les compas, dès qu’on s’en approche. Une dépense de moins à envisager.
Il semblait qu’un certain nombre de cordages avaient besoin d’être remplacés. Après expertises, mesures de nos réserves et comparaisons diverses, nous nous sommes rendu compte que nous sommes bien équipés et que le changement peut attendre.
jeudi 5 août
Le temps est très venté et pluvieux. Il a plu tout le matin et le vent l’après midi est monté à 32 nœuds avec une moyenne de plus de 22 nœuds.
Nous avons décidé d’aller visiter Châtelaillon et Fouras.
La pluie est telle que l’Ile d’Aix et Fort Boyard disparaissent complètement.
Sur l’image ci-dessous, on entre-aperçoit en tout petit, Fort Boyard. On comprend mieux pourquoi ils ont pris un nain, c’était le mieux car finalement, tout est petit dans ce fort.
Au retour, pour permettre au bateau de se rapprocher du catway, nous avons dû ajouter une amarre (avec une fourrure pour protéger le bateau).