2 février 2013
18:00
Retour vers la métropole
Il faut « rendre » le bateau, remplir et signer les formulaires d’inventaires, acheter les derniers souvenirs et préparer une tenue vestimentaire mixte : légère pour le départ, chaude pour l’arrivée. Nous passons plusieurs fois sur le port et dans le chantier voisin. Intrigués par la puissance et le nombre de moteurs hors-bords sur les bateaux, on nous dit que c’est pour la pêche en eaux tourmentées. Par contre, pour le canot de la gendarmerie on nous dit que c’est pour rattraper les trafiquants éventuels…
Un dernier coup d’œil aux plantes originales…
… et nous quittons le bateau.
L’ami local d’une équipière nous propose une restauration dans sa villa avant de nous emmener à l’aéroport. Nous allons prolonger le plaisir du séjour grâce à un accueil chaleureux du couple, une dernière vue sur l’archipel des Saintes…
…et la dégustation de mets locaux délicieux comme ces bananes-légumes d’une belle couleur.
Notre dernière vision sera celle d’une fleur du jardin.
La route qui nous conduit à l’aéroport est bordée de ces boîtes à lettres qui évitent aux facteurs de grimper très haut vers les maisons avec vue mer !
Et puis nous repartons pour une longue traversée, départ 18 h locales et arrivée 7 h locales (moins 5 heures de décalage horaire). La nuit tombe, il ne nous reste plus qu’à se repasser le film de notre trop court séjour, émaillé de rencontres toutes aussi sympas les unes que les autres.