Navigations…

Sauzon est une escale que nous affectionnons particulièrement. Notre biquille est tout à fait adapté à un échouage en douceur sur le sable dur de cet abri.

Il s’agit dans un premier temps de surveiller la hauteur d’eau pour calculer avec précision l’heure à laquelle on va « se poser ». C’est un simple exercice pour mettre en jeu les paris pour l’apéritif car ça n’a pas beaucoup d’importance. On utilise donc le sondeur à main, un simple bout gradué avec un poids au bout. C’est ce qu’affectionne particulièrement Marine.

Le sondeur

Par contre, l’important est de connaître l’heure limite de départ pour ne pas être obligé d’attendre la marée suivante. Et pour demain (nous pensons aller à La Trinité sur mer) le départ limite se situe vers 8h00 : dur pour les vacancières qui ne sont pas du tout du matin.

Quand le bateau est posé, on descend dans la mer inspecter les dessous pour voir si rien d’anormal est visible. On en profite surtout pour aller pêcher les coques tout autour. Depuis plus de vingt ans que nous fréquentons Sauzon, nous voyons à chaque marée une dizaine de personnes chercher (et trouver) des coques et des palourdes de taille réglementaire. A croire, qu’ils ensemmencent l’hiver pour faire plaisir aux plaisanciers.

Premier contact avec le fond !

Marée basse

Laura traverse

Ce matin, Isabelle, la plus affolée des coques est partie dès que possible (vers 9H00, n’exagérons pas !) a ramassé quelques coques puis est revenu déjeuner avec la marée montante. Nous en avons un petit plat pour ce soir.

J’ai déjà fait deux cents fois (mais Annie exagère) la photo ci-dessous, mais je ne peux pas résister tellement c’est beau ! Voir aussi ICI.

Sauzon

Enfin, pour terminer la quotidienne du jour mais qui concerne hier : la connexion d’hier soir en 3G n’était pas de première qualité alors qu’aujourd’hui, j’ai pu trouver un cybercafé avec une connexion très rapide.